Les Chaînes de Velours
28 octobre 2025
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Berlin, la ville des ombres et des néons froids, abritait dans ses entrailles le *Keller der Begierden*, un club BDSM secret niché sous les ruines d'un bunker de la Seconde Guerre mondiale. Les murs de béton suintant, éclairés par des torches LED rouges, exhalaient une odeur de cuir neuf et de sueur ancienne. Elena et Alex y étaient venus sur un coup de tête, après des mois de murmures au lit : elle, avouant son fantasme de se soumettre, lui, confessant son excitation à la voir dominée. Elena, 35 ans, architecte freelance aux courbes généreuses – des seins lourds qui débordaient des corsets, un cul rond et ferme sculpté par des squats obsessionnels, des hanches larges qui ondulaient dans ses tailleurs cintrés –, avait toujours été la dominante dans leur couple. Alex, son mari depuis neuf ans, un galeriste d'art contemporain mince et pâle, aux cheveux blonds en bataille et aux yeux bleus myopes derrière des lunettes rondes, se contentait de la laisser mener la danse. Leurs ébats étaient vanille : des missionnaires tendres, des fellations paresseuses le matin, des orgasmes discrets. Mais Elena lisait en cachette des romans SM, et Alex, en fouillant son historique porno, avait découvert des vidéos de bondage qui l'avaient fait bander comme un adolescent.
Un soir d'hiver pluvieux, après un verre de trop de schnaps au bar du quartier, ils réservèrent une initiation. « Juste pour voir », dit Elena, le cœur battant. Alex hocha la tête, sa bite déjà à demi-dure à l'idée. Le club exigeait un code vestimentaire : pour elle, un corset noir en latex qui serrait sa taille jusqu'à l'étouffement, des bas résille et des talons aiguilles ; pour lui, un pantalon de cuir moulant qui soulignait sa queue modeste mais vaillante. À l'entrée, un portier tatoué scanna leurs pseudos – "SoumiseE" et "VoyeurA" – et les guida dans un couloir aux murs tapissés de fouets et de chaînes.
La salle principale était un labyrinthe de donjons : des croix de Saint-André en acier poli, des cages suspendues, des bancs de fessée capitonnés de velours rouge. L'air vibrait de gémissements étouffés, de claquements de cuir sur la chair, de rires complices. Des dominants en masques de cuir circulaient comme des prédateurs, des soumises rampaient à quatre pattes, colliers au cou, tandis que des switchs – mi-dom, mi-sub – négociaient des scènes en murmures feutrés. Elena sentit une chaleur monter entre ses cuisses dès le premier coup d'œil : une femme aux seins percés attachée à un pilori, un homme masqué lui fouettant les fesses jusqu'à ce qu'elles rougissent comme des pommes d'api. Alex, la main dans la sienne, transpirait déjà.
Weronika, la maîtresse des lieux, une Polonaise d'une quarantaine d'années aux cheveux rasés et au corps athlétique couvert de tatouages gothiques – un dragon enroulé autour de son bras, une rose épineuse sur son pubis rasé –, les accueillit. « Premiers ? » demanda-t-elle d'une voix rauque, son regard perçant comme une lame. Elena hocha la tête, la gorge sèche. « On commence soft. Une scène d'initiation. » Elle les mena dans une alcôve privée, un cube de miroirs qui multipliait les reflets à l'infini, meublé d'un lit à baldaquin bardé de chaînes, d'un chevalet de bondage et d'une table d'instruments : plumes, pinces à tétons, vibros géants, fouets en daim souple.
« Déshabillez-vous. Lentement », ordonna Weronika. Elena obéit, ses doigts tremblants défaisant les lacets de son corset. Ses seins jaillirent, lourds et pâles, les tétons déjà durcis par l'anticipation. Le latex glissa le long de ses hanches, révélant une culotte en dentelle noire trempée au centre. Alex, plus hésitant, ôta son pantalon, sa bite se dressant fièrement, le pré-sperme perlant au gland. Weronika sourit, un chaton cruel. « Toi, le voyeur, tu restes attaché là. » Elle le menotta aux bras de la croix de Saint-André, son dos contre le bois froid, sa queue exposée et palpitante. « Et toi, soumise... à genoux. »
Elena s'agenouilla sur le tapis de velours, les genoux écartés, les mains derrière la nuque comme Weronika l'avait indiqué. La dominatrice s'approcha, un collier de cuir noir à la main, orné d'un O-ring en acier. « Répète après moi : je suis ta salope consentante. » Elena balbutia les mots, la voix brisée, et sentit le cuir se refermer autour de son cou, la chaîne s'y accrochant comme une promesse. Weronika tira dessus doucement, forçant Elena à lever le menton. « Bonne fille. Maintenant, embrasse mes bottes. » Elena se pencha, ses lèvres effleurant le cuir lustré, la langue sortant pour lécher le bout pointu. Un frisson la traversa – humiliation et excitation mêlées.
Alex, immobilisé, regardait la scène, sa bite tressautant à chaque mouvement de sa femme. « Elle est belle comme ça », grogna-t-il, surprenant Weronika qui rit. « Patience, voyeur. Tu auras ton tour. » Elle guida Elena vers le lit, la faisant s'allonger sur le ventre, les poignets et chevilles attachés aux coins par des menottes rembourrées de velours. Le corps d'Elena s'étira, vulnérable, sa chatte exposée entre les cuisses écartées, les lèvres gonflées luisant sous les spots tamisés. Weronika commença par des caresses : une plume glissant le long de sa colonne vertébrale, effleurant les fossettes lombaires, descendant jusqu'à la raie de ses fesses. Elena gémit, se tortillant contre les liens. « Pas bouger, salope. Ou je te punis. »
La punition vint sous forme d'une main ferme claquant son cul droit, le son résonnant dans la pièce comme un coup de tonnerre. Elena cria, plus de surprise que de douleur, une marque rose fleurissant sur sa peau laiteuse. « Compte », ordonna Weronika. « Un... merci Maîtresse. » Un second claquement, plus fort, sur la fesse gauche. « Deux... merci Maîtresse. » Alex, les yeux rivés, se masturba instinctivement contre les liens, sa queue suintant. Weronika remarqua et s'approcha de lui, sa main gantée enveloppant sa hampe. « Pas sans permission, cocu. » Elle le branla lentement, torturant le gland avec son pouce, avant de le lâcher, le laissant pantelant.
Revenant à Elena, Weronika sortit un vibro bullet, le pressant contre son clito à travers la dentelle. Le bourdonnement emplit l'air, et Elena arqua le dos, ses seins écrasés contre les draps. « Supplie pour jouir. » « S'il vous plaît... Maîtresse... laissez-moi... » Les vibrations s'intensifièrent, le jouet glissant maintenant dans sa culotte, frottant directement le bouton sensible. Elena haleta, ses hanches se soulevant futilement contre les attaches. Weronika arrêta net, juste avant l'orgasme. « Pas encore. » Elle déchira la dentelle d'un geste sec, exposant la chatte rasée d'Elena, les lèvres intimes rougissantes et trempées. Sa langue plongea alors, lapant le jus abondant, suçant le clito comme un bonbon. Elena hurla, son corps secoué de spasmes retenus.
C'est alors que Viktor entra, le dominant masqué que Weronika avait appelé en renfort. Grand, large d'épaules, avec une barbe noire taillée et des yeux verts perçants derrière un loup de cuir, il portait un harnais qui soulignait sa musculature ciselée et sa bite massive, déjà à demi-érigée sous un string en cuir. « La petite architecte est prête ? » demanda-t-il d'une voix grave, teutonne. Weronika hocha la tête. « Montre-lui ce qu'est une vraie soumission. » Viktor s'approcha d'Elena, son ombre couvrant son corps tendu. Il caressa ses fesses rougies, puis claqua le fouet en daim souple – pas pour blesser, mais pour chauffer la peau. Chaque impact envoyait des ondes de plaisir-douleur, faisant couler plus de mouille le long des cuisses d'Elena. « T'es une bonne chienne », grogna-t-il, sa main glissant entre ses jambes pour doigter sa chatte béante. Deux doigts, puis trois, étirant ses parois, courbant pour toucher le point G. Elena pleura presque de frustration, son orgasme nié se accumulant comme une tempête.
Alex, témoin impuissant, supplia : « Laissez-la jouir... s'il vous plaît. » Viktor rit, se tournant vers lui. « Et toi, voyeur, tu veux la voir se faire baiser ? » Il détacha partiellement Alex, le forçant à s'agenouiller près du lit, la tête au niveau de la chatte de sa femme. « Lèche-la pendant que je prépare. » Alex obéit, sa langue plongeant dans les plis trempés d'Elena, goûtant ses propres larmes de désir. Elle gémit son nom, « Alex... oh oui... », mais Viktor l'interrompit en enfonçant sa bite – épaisse comme un poignet, veinée et courbée vers le haut – d'un coup sec dans sa bouche. Elena s'étouffa un instant, les yeux larmoyants, mais avala goulûment, sa langue tournoyant autour du gland salé. Viktor attrapa ses cheveux, baisant sa gorge avec des va-et-vient contrôlés. « Suce comme si ta vie en dépendait, salope. »
Weronika, ne restant pas inactive, s'attacha un strap-on noir luisant, un gode réaliste de 20 cm veiné de silicone. Elle positionna Elena en levrette, les attaches ajustées pour cambrer son dos. « Regarde ton mari te voir te faire prendre », murmura-t-elle en alignant le jouet contre l'anus plissé d'Elena, lubrifié d'huile parfumée à la vanille. Elena paniqua un instant – « Pas là... pas encore » –, mais Viktor claqua son fouet sur son dos, un trait de feu qui la fit se détendre. Weronika poussa doucement, le gland forçant le sphincter serré. La douleur fut aiguë, puis fondit en un remplissage délicieux, le gode étirant ses parois anales comme jamais. « Bonne fille... prends tout », encouragea la dominatrice, commençant un rythme lent, ses hanches claquant contre les fesses d'Elena.
Viktor, libérant sa bouche, la repositionna face à Alex. « Baise-la maintenant, cocu. Montre-moi comment tu la remplis mal. » Alex, libéré, enfonça sa bite dans la chatte de sa femme, sentant le gode à travers la paroi mince. Elena hurla de plénitude, doublement pénétrée, ses trous se contractant autour des deux queues. Les miroirs multipliaient la scène : Elena au centre, empalée comme une poupée, Alex pilonnant sa chatte avec une vigueur nouvelle, Weronika sodomisant son cul avec des coups profonds. Viktor se branlait en regardant, sa main massive pompant sa hampe massive. « Plus fort, tous les deux ! Faites-la jouir comme une fontaine ! »
Elena explosa la première, un orgasme cataclysmique qui la fit squirter sur le ventre d'Alex, ses jus giclant en arcs chauds sur le tapis. Ses parois vaginales et anales se resserrèrent, trayant les intrus, et Alex suivit, éjaculant au fond de sa chatte en grognements rauques, son sperme se mêlant à sa mouille. Weronika accéléra, le strap-on claquant, prolongeant l'extase d'Elena jusqu'aux larmes. Viktor, enfin, força sa bite dans la bouche grande ouverte d'Elena, tenant sa tête pour la baiser oralement. « Avale mon jus, architecte ! » Il explosa en jets puissants, remplissant sa gorge de sperme épais et salé, une partie débordant sur son menton et ses seins.
Mais la nuit ne faisait que commencer. Weronika détacha Elena, la laissant pantelante, couverte de sueur et de fluides. « Pause. Hydratez-vous. » Ils burent du champagne frais, les bulles pétillant sur leurs langues fatiguées. Elena, les poignets marqués de rouge, se blottit contre Alex, murmurant : « C'était... intense. » Il l'embrassa, goûtant le sperme de Viktor sur ses lèvres. « Tu étais magnifique. »
La seconde scène fut plus hardcore : une roue de bondage suspendue au plafond. Viktor y attacha Elena, les bras et jambes écartés en étoile, son corps tournoyant lentement comme une marionnette. Des pinces à tétons – des crocodiles argentés reliés par une chaîne – mordirent ses mamelons durcis, tirant un cri aigu. Weronika appliqua de la cire chaude : des gouttes rouges tombant sur son ventre, ses cuisses, effleurant son clito sensible. Chaque impact était un feu liquide, durcissant en perles écarlates sur sa peau. Elena se tordit, la douleur se muant en pulsations vaginales. « Plus... s'il te plaît... »
Alex, maintenant switch, fut invité à manier le flogger – un fouet multifil en suède noir. Weronika guida sa main : « Vise les fesses, alterne les impacts. » Le premier coup atterrit maladroitement, mais Elena gémit d'encouragement. Bientôt, Alex trouva le rythme, le flogger dansant sur sa peau, laissant des stries roses. Viktor, pendant ce temps, doigtait la chatte d'Elena depuis en bas, quatre doigts l'étirant, son pouce sur le clito. « T'es une vraie maso, hein ? » grogna-t-il. Elle hocha la tête, les yeux voilés. L'orgasme vint en vague, sa chatte giclant sur la main de Viktor, tandis que la roue tournait, exposant ses spasmes à tous les angles.
Ils passèrent ensuite à une scène collective : le banc de fessée central, où d'autres membres du club – un couple berlinois, un solo dominant suédois – rejoignirent. Elena fut positionnée dessus, le torse plat, le cul en l'air. Viktor la prit en levrette, sa bite massive s'enfonçant dans sa chatte encore sensible, chaque coup de reins claquant comme un piston. « Prends ma queue, salope ! » Weronika, strap-on enlevé, s'assit sur son visage, forçant Elena à lécher sa chatte tatouée, aspirant son clito percé. Alex, derrière, fut sodomisé par le Suédois – une bite nordique longue et fine qui le fit gémir pour la première fois. « C'est... bon... » balbutia-t-il, poussant en avant pour lécher les couilles de Viktor pendant qu'il baisait sa femme.
Le couple berlinois, elle une gothique aux piercings multiples, lui un sub bodybuildé, ajoutèrent au chaos : elle pinça les tétons d'Elena avec des clamps vibrants, lui suça les orteils d'Alex pendant sa sodomie. Les cris se mêlèrent : Elena hurlant autour de la chatte de Weronika, Alex grognant sous les assauts, Viktor rugissant en éjaculant dans la chatte d'Elena, son sperme coulant en filets laiteux. Weronika jouit sur le visage d'Elena, giclant légèrement, marquant sa soumission. Le Suédois remplit Alex, un flot chaud dans son cul vierge, qui à son tour explosa sur le banc sans être touché.
L'orgie s'étira jusqu'à l'aube : échanges de partenaires, où Elena suça la bite du bodybuildé pendant que sa gothique la fistingait doucement ; Alex attaché et forcé à regarder Viktor sodomiser Elena pour la première fois, son trou anal s'ouvrant autour de la queue massive avec des cris de plaisir pur ; des jeux de cire et de glace alternés sur les corps, des vibros insérés et oubliés pendant des minutes de torture exquise. Des orgasmes multiples secouèrent Elena – cinq, six ? –, ses squirtings arrosant le sol en flaques miroitantes. Alex découvrit son côté bi, suçant Viktor sous les ordres de Weronika, avalant son sperme comme une offrande.
À l'aube, épuisés, marqués de bleus et de morsures, ils s'effondrèrent dans les bras l'un de l'autre. Elena, le collier encore au cou, murmura : « On revient ? » Alex sourit, sa bite encore sensible. « Tous les week-ends. » De retour à leur appartement berlinois, leur vie sexuelle explosa : des menottes maison, des fouets improvisés, une passion ravivée par les chaînes de velours.
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