Après l'assassinat de son chef militaire, le Hezbollah revendique son « droit de répondre » et fait monter la tension régionale

L'assassinat de Haitham Ali Tabatabai, un haut commandant militaire du Hezbollah, dans une frappe israélienne sur Beyrouth dimanche, a ravivé les craintes d'une escalade majeure au Moyen-Orient. Le numéro deux du mouvement pro-iranien, Naïm Qassem, a qualifié l'acte d'« agression flagrante » et a affirmé le « droit de répondre », plongeant la région dans une incertitude périlleuse.